Paris : deux touristes brésiliennes victimes d’une agression sexuelle et d’un viol au cours de la même soirée dans les jardins de la tour Eiffel

Publié par Guy de Laferrière le 08 février 2023

Fdefrance 08/02/2023 à 12h08

 

Les touristes ont été conduites au commissariat local en état de choc dans la nuit de dimanche à lundi. Les suspects sont en fuite.

L’aînée et sa cadette s’étaient rendues à Paris pour faire du tourisme. Deux sœurs de nationalité brésilienne ont été respectivement victimes d’une agression sexuelle et d’un viol dans la nuit de dimanche à lundi dans les jardins de la tour Eiffel, a appris BFM Paris Île-de-France de source policière.

Les victimes avaient passé la soirée avec deux jeunes hommes, rencontrés quelques heures plus tôt. Aux alentours de 5h30, l’un d’eux touche les fesses de l’aînée contre son gré et finit par prendre la fuite.

La touriste se lance alors à la recherche de sa sœur cadette. Elle la repère non loin, au sol. L’autre homme rencontré ce soir-là est allongé sur elle, le pantalon baissé, et lui fait subir un viol. À l’arrivée de l’aînée, ce dernier prend la fuite.

En état de choc, les deux victimes, en pleurs et s’exprimant difficilement en français, ont été conduites au commissariat local.

(…) BFMTV via fdesouche

Paris : alors qu’il est visé par une OQTF, un migrant algérien en situation irrégulière, agresse sexuellement une étudiante de 19 ans dans un bus

Publié par Guy de Laferrière le 06 janvier 2023

Jeanne 06/01/2023 à 19h09

 

Un Algérien en situation irrégulière en France a agressé sexuellement une étudiante de 19 ans dans un bus, le 28 novembre dernier à Paris, a appris CNEWS de sources policière et judiciaire. L’homme a été condamné par la justice.

Une peine de quatre mois de prison ferme et une interdiction du territoire français pour dix ans. Un Algérien en situation irrégulière a été condamné le 30 novembre dernier, pour des faits d’agression sexuelle commis le 28 novembre dernier, dans un bus de la ligne 80, à Paris.

[…]

 

D’après nos informations, il avait déjà agressé une jeune femme, sur la même ligne de bus, le 11 janvier dernier. Là encore, il avait passé sa main entre les fauteuils à plusieurs reprises pour tripoter sa victime, de nationalité italienne et âgée de 23 ans. Celle-ci s’était alors saisie de son téléphone pour tenter de le filmer. Elle avait par la suite porté plainte, mais refusé la confrontation avec son agresseur, ce qu’elle dit regretter désormais, puisqu’il a recommencé.

Après l’agression de janvier, Mohammed H. avait été reconnu coupable et avait fait l’objet d’un rappel à la loi par délégué du procureur, a indiqué le parquet de Versailles. Une source policière a précisé que l’individu, qui se trouvait déjà en situation irrégulière, avait été visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF), qu’il n’a manifestement pas exécutée. Contactées par CNEWS, les deux victimes indiquent n’avoir aucunement été informées des suites judiciaires, mais se disent soulagées par sa condamnation.

CNews via fdesouche

Havre : un migrant en situation irrégulière qui revenait d’une soirée pour fêter le match France-Maroc, agresse sexuellement une personne trans ainsi qu’une femme

Publié par Guy de Laferrière le 29 décembre 2022

Jeanne 29/12/2022 à 19h50

 

Un homme a été condamné pour agression sexuelle couplée à des outrages sexistes par le tribunal correctionnel du Havre. Le prévenu revenait d’une soirée avec des amis pour fêter le match France-Maroc et était en état d’ivresse.

Vers 4 h du matin, alors que ce dernier revient d’une soirée chez des amis pour suivre le match France-Maroc, il aperçoit une personne transsexuelle d’une vingtaine d’années vêtue d’une minijupe et d’un sac à main rose, qu’il identifie comme une femme. Celle-ci rentre également d’une soirée sur le campus. Il se met à la suivre dans la rue et la drague avec insistance jusqu’à son hall d’immeuble. Il parvient à rentrer, lui touche le visage, le dos, les fesses, tente de lui faire un câlin en mimant des mouvements de bassin. «  Il m’a dit que je l’avais invité dans le hall, que c’était de ma faute, que j’étais habillée pour faire des trucs, déclare la victime en audition, qu’il me respectait en tant que femme trans. » Il va jusqu’à la menacer de la frapper si elle ne fait pas ce qu’il veut.

[…]

 

L’homme a finalement été reconnu coupable des faits reprochés et, suivant les réquisitions de la procureure, a été condamné à un an et demi de prison avec maintien en détention. En situation irrégulière, le tribunal a déclaré son interdiction du territoire français pendant cinq ans ainsi que de porter une arme soumise à autorisation durant le même nombre d’années. Son inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais) lui a également été notifiée ainsi que sa situation d’inéligibilité. L’homme écope de 300 euros d’amende. Il devra également verser 500 euros à la seconde victime au titre du préjudice moral.

Paris-Normandie via fdesouche

Se faire justice soi-même

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2022

Thomas Joly Président du Parti de la France

À Roanne, un père de famille, aidé de quelques amis, a roué de coups un migrant qui avait agressé sexuellement sa fille de 6 ans en entrant chez lui par effraction. Des poursuites vont évidemment être engagées contre eux par la « justice » française. Toutefois, vu que ce sont des Maghrébins, nul doute que les magistrats seront beaucoup plus cléments qu'avec des Gaulois qui auraient eu la même saine réaction de vengeance...

 

 

 

 

 

 

Elle sort du collège, un inconnu l’aborde dans la rue pour l’entraîner chez lui : 1 an de sursis et une interdiction du territoire français pour un Egyptien clandestin reconnu coupable d’atteinte sexuelle sur une ado de 13 ans à Reims

Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022

Jeanne 25/10/2022 à 10h15

 

L’avait-il repérée les jours précédents ? D’habitude, cette élève du collège Pierre-Brossolette à Reims rentre chez elle le midi accompagnée de son petit ami. Ce 29 septembre 2022, elle est seule. À peine arrivée sur le boulevard Charles-Arnould, la demoiselle âgée de 13 ans remarque un homme qui la « fixe du regard ». Elle s’inquiète, au point d’alerter sa mère et des copines par SMS, tout en marchant. Alors qu’aucune réponse ne lui est encore parvenue, elle se retourne et voit l’individu qui se rapproche d’elle à grands pas, en la sifflant.

Le prévenu conteste avoir touché la collégienne, malgré son ADN retrouvé au coin de la bouche. Explication : il lui a parlé très près, ce sont peut-être les postillons

D’après le récit de la collégienne (les faits sont contestés), l’homme lui demande son numéro de téléphone et son identifiant Instagram. Confronté à un refus, il la rattrape, lui pose la main sur l’épaule et la pousse de l’autre côté du boulevard pour l’amener au fond d’une cour d’immeuble, devant un escalier extérieur menant à son domicile. Il lui propose de boire un verre chez lui. Nouveau refus.

Toujours d’après les déclarations de la plaignante, l’individu approche sa tête de la sienne, pose sa joue sur « le coin de la bouche », lui caresse la poitrine par-dessus la veste puis la saisit par le bras pour lui faire monter l’escalier. Confronté au refus insistant de la collégienne, il la laisse partir, non sans lui avoir proposé de se rendre dans le jardin derrière l’immeuble. La jeune fille court se réfugier au restaurant Bert’eat, où les policiers la découvrent en pleurs. Sur ses indications, ils vont inspecter la cour de l’immeuble. L’individu s’y trouve encore.

[…]

 

Après un long délibéré, le tribunal a finalement déclaré le prévenu coupable des faits reprochés : un an de prison avec sursis, obligation d’indemniser la partie civile à hauteur de 1 800 euros, inscription au fichier des délinquants sexuels, interdiction de tout contact avec les mineurs pendant dix ans et interdiction du territoire français pendant la même période.

L’Union via fdesouche